Il propose d'étendre le droit de préemption urbain au développement des énergies renouvelables dans les zones d'accélération. Sauf erreur de notre part, nous ne pouvons pour le moment avoir la certitude que ce sont des projets liés aux énergies renouvelables qui se développeront dans les zones d'accélération. D'autres activités pourraient y prendre la place des énergies renouvelables, et les projets liés aux énergies renouvelables se développer en dehors de ces zones. Le droit de préemption permettra aux collectivités de traduire dans les faits l'ambition qui est la nôtre dans ce texte.