Je souscris aux propos du président Chassaigne : la prise en compte n'est pas effective. Prenons l'exemple du parc national des volcans d'Auvergne, le plus grand de France métropolitaine – 400 000 hectares. Lorsqu'on implante une éolienne dans les hauts plateaux d'estive, à plus de 1 100 mètres d'altitude, on ne fait pas que planter un mât : on trace des pistes pour y accéder, on procède à des saignées qui blessent la montagne. Comment prenez-vous en compte cette perte de biodiversité ? Rien n'est encadré !