Il est également aussi flou que la mesure que le rapporteur a fait adopter, au début de l'examen du texte, sur la prise en considération d'une dimension paysagère dans l'intégration des énergies renouvelables.
Notre proposition, très peu contraignante – chacun fait ce qu'il veut –, permet d'inscrire la clarification des zones d'accélération dans une démarche tenant compte des paysages vécus au quotidien par les habitants « dans leurs composantes naturelles, historiques et socioculturelles », ce qui nous paraît indispensable pour améliorer l'acceptabilité et la désirabilité des énergies renouvelables.