Soit on se donne les moyens d'avoir des comités de programmation, des instances de décision qui rassembleront tous les élus, soit on dit « Circulez, il n'y a rien à voir » et on ne laisse au législateur que la capacité de faire une loi d'à peu près, qui n'aura pas les résultats que nous attendons. Je vous le dis très clairement : je ne prendrai pas, en tant que député, cette responsabilité-là. On ne peut pas d'un côté constater une dépendance énergétique considérable et ne pas se donner les moyens d'y remédier. Donnons-nous les moyens : cela vaut pour la méthanisation, pour le photovoltaïque, pour l'éolien, pour l'hydroélectricité, pour toutes les énergies renouvelables.