…sur les boulangers. J'ai gardé en mémoire la réponse.
Nous rencontrons tous le même problème dans nos circonscriptions : comment disposer d'énergies pas chères, en quantités suffisantes, pour ne pas à l'avenir être exposés à des coupures ? Sommes-nous capables de faire mieux que de reprendre la belle phrase prononcée par Alain Delon dans Le Guépard, « Il faut que tout change pour que rien ne change » – n'est-ce pas, monsieur Delaporte ? Il connaît ça par cœur !