Les zones d'exclusion, elles, constitueront une garantie d'acceptabilité. Nous savons bien que certains lieux sont très sensibles, s'agissant notamment du patrimoine, et qu'ils sont à distinguer des autres : on n'y développera pas d'énergies renouvelables. Mais nous ne nous interdisons pas d'avoir des zones « neutres », qui permettront aussi de faire respirer la programmation pluriannuelle.
J'insiste sur ces éléments, car nous irions trop vite dans le bouclage du système de planification en adoptant ces amendements, ce qui serait contre-productif. J'émettrai donc un avis défavorable sur l'ensemble de la discussion commune, sachant que je n'ai pas saisi à la volée la rectification dont a fait l'objet l'amendement de Mme Batho.