Il vise à substituer au mot « favoriser » le mot « imposer » dans le titre de l'article 1er A. En effet, le verbe « favoriser » n'est pas assez coercitif lorsque l'on se trouve confronté à des acteurs de l'éolien dont les méthodes sont pour le moins – et pour rester poli – contestables.
Parmi les autres acteurs concernés, citons les pouvoirs publics mais aussi les Français. Or ces derniers sont sceptiques. Ma collègue Besse citait tout à l'heure les résultats d'un sondage OpinionWay – un institut sérieux – allant dans ce sens. Je vous donnerai d'autres chiffres issus de ce même sondage : 82 % des Français souhaitent donner la possibilité aux communes de s'opposer aux nouveaux projets de parcs éoliens après avoir consulté la population par référendum.