Monsieur le président, le modèle à la française est effectivement fondé sur le don et repose sur des valeurs importantes à savoir l'anonymat, le volontariat, la gratuité et le bénévolat. Il doit donc être préservé. Vous effectuez une mission importante de collecte et de distribution.
La crise épidémique a été suivie de tensions importantes dans l'organisation des collectes et d'une moindre mobilisation des donneurs. Qu'en est-il aujourd'hui de ce dernier point ? Avez-vous observé un retour des donneurs ?
Vous venez de mener une campagne sur le manque de sang rare. Avez-vous besoin d'aide pour cibler et recruter les donneurs possédant un sang rare ? Quelle est la situation du don de plasma ? Comment peut-on aider l'EFS à assurer l'attractivité de ses métiers ? Ce sujet fait-il l'objet de commissions de travail particulières ?
Enfin, la mobilisation des bénévoles a également été freinée par la crise sanitaire. Constatez-vous depuis un regain de dynamisme de la part des bénévoles ?