Autre exemple : lors de la COP27 en Égypte, le Président de la République s'est engagé à soutenir l'interdiction de l'exploitation des grands fonds marins, sans donner plus de suite à son engagement, comme s'il craignait d'hypothéquer la seule richesse qu'il nous reste avec la large superficie des zones économiques exclusives. Enfin, comment voulons-nous que notre parole porte à l'extérieur si, en même temps, à l'intérieur, le Gouvernement développe à toute force les éoliennes sur terre au détriment de la protection des oiseaux, et en mer, alors qu'on ignore tout de conséquences sur la biodiversité marine ?