Cela n'a aucunement empêché de faire preuve de fermeté en matière de sanctions, ni de livrer armes et matériels divers aux Ukrainiens, ni de condamner avec la plus grande fermeté les agissements criminels de l'armée d'occupation russe, ni de mobiliser nos forces armées au sein de l'Otan, ni à l'Union européenne de rester unie. La France doit peser sur tous ces sujets à l'occasion de la visite d'État du Président de la République aux États-Unis : il doit porter la voix ferme et singulière de notre pays.