Ce sujet est sensible et j'invite chacun à sortir de la caricature. J'ai été choquée par les propos de notre collègue Isaac-Sibille. Nous essayons tous de faire preuve de nuance et s'il y a des complotistes, il y a surtout beaucoup de gens qui ont peur. La santé relève de l'intime et soulève les questions de l'information et du consentement. Tout cela n'est pas si simple.
Nous discutons de la politique de santé publique et notre rôle est de faire des choix. Mais soyons exemplaires et respectueux des différences d'opinion, car ce sont celles de millions de Français. Il faut prendre garde de ne pas mépriser ceux qui ont peur.