En tout cas, depuis 2017, elles sont en baisse. Nous y resterons très attentifs et nous serons exigeants envers les bailleurs, notamment sociaux, pour qu'ils mettent tous en œuvre les mesures de protection prévues au premier euro d'impayé. Il ressort de mes échanges avec Emmanuelle Cosse qu'il n'y a pas actuellement d'alerte particulière quant à une hausse du nombre d'impayés.