Je maintiens mon amendement, pour deux raisons. D'une part, les préfectures auront à traiter les dossiers déposés avant que les zones mentionnées à l'article 3 ne soient opposables – si tant est qu'elles soient exclusives, ce qui fait partie des points de débat. D'autre part, vous l'avez dit, les éoliennes plus puissantes sont nettement plus hautes, ce qui soulève la question de leur éloignement, problème important et récurrent que nous avons souvent évoqué.