Nous voterons contre cet amendement.
Lors de la mission flash que nous avons conduite, de nombreux acteurs ont insisté sur le fait qu'il valait mieux parler de désirabilité que d'acceptabilité. Ce n'est pas un point de détail : il y va de la façon dont on perçoit la bifurcation énergétique et de la question de savoir si les citoyens la subiront ou en seront acteurs.
Par ailleurs, tous les sondages d'opinion montrent que les Français ont, dans leur très large majorité, une opinion favorable sur l'accélération et le développement des énergies renouvelables : 70 % environ sont favorables aux éoliennes – et 80 % à 90 % des riverains de ces installations.