Nous voterons contre ces crédits. D'une part, rien n'est fait pour lutter contre deux tendances extrêmement lourdes : la baisse d'un tiers des effectifs de la DGFIP depuis dix ans et la diminution des montants recouvrés. La proportion que j'évoquais tout à l'heure a été contestée, mais le montant des redressements fiscaux et des pénalités est passé de 19,5 milliards en 2016 à 10,7 milliards en 2021 : la baisse est bien de moitié. D'autre part, les amendements que nous avons proposés au sujet de la formation n'ont pas été adoptés.