L'existence d'un tel programme nous donnerait plus de visibilité. Il nous amènerait peut-être aussi à nous demander pourquoi, en France, tant d'informations sont communiquées par des associations de journalistes plutôt que par l'État, comme dans d'autres pays. Les affaires qui se succèdent, comme celle des Panama Papers, n'ont pas été révélées par l'administration fiscale. Beaucoup reste à faire en matière de contrôle fiscal : nous ne sommes même pas au milieu du gué.