Les crédits de la mission Pouvoirs publics, du fait de l'inflation, sont en hausse, à périmètre comparable. Tout comme mes collègues, je suis surpris que la présidence de la République bénéficie de la plus forte augmentation. Quand on appelle à la fin de l'abondance, on a un devoir d'exemplarité. Vu les efforts accomplis par d'autres structures, c'est assez incompréhensible, d'autant qu'il existe des marges de manœuvre pour réduire le budget de l'Élysée. Pour cette raison, et pour d'autres que je n'ai pas le temps d'exposer, nous n'approuverons pas ces crédits.