Nous suivrons l'avis de Marianne Maximi.
Monsieur Lefèvre, je n'ai pas dit que c'était l'abondance, mais qu'on entendait dire que c'était la fin de l'abondance. Il me semble que, derrière cette formule, il y a la volonté exprimée au plus haut sommet de l'État de mener une politique de sobriété énergétique et de demander des sacrifices aux Françaises et aux Français pour faire face à l'urgence climatique. La moindre des choses serait que ces sacrifices se traduisent aussi dans le budget de la présidence de la République.