Le groupe Renaissance est favorable à ces crédits, qui respectent l'indépendance des pouvoirs. De toute façon, nous n'avons pas la possibilité de les modifier. Pour ce qui concerne la présidence de la République, 6 millions d'euros en plus depuis 2017, ce n'est pas l'abondance, monsieur Bompard, c'est une évolution raisonnable et raisonnée des dépenses, qui tient compte d'une intense activité diplomatique, tout à fait compréhensible dans cette période de guerre.