Le marché en question a été conclu, sauf erreur, en décembre 2019, et il me semble que toutes les garanties ont été prises pour répondre aux exigences évoquées par Mme Maximi, aussi bien en matière de formation des salariés que d'horaires et de salaire. Il ne me paraît donc pas nécessaire de revoir à la baisse les crédits de la présidence de la République à cette fin.
J'y insiste : 6 millions d'euros depuis 2017, c'est une progression somme toute assez raisonnable par rapport à d'autres programmes. On peut le saluer, et cela quoi qu'on pense du Président de la République. On peut aussi se réjouir que, depuis le président Sarkozy, on puisse examiner dans le détail les crédits de la présidence de la République.