Ensuite, un certain nombre d'emplois seront conservés. Mais j'ignore combien. Le fonctionnement de ces installations devrait nécessiter entre 2 000 et 3 000 personnes.
Ce sont des emplois qualifiés. Ils seront locaux. Le nombre d'expatriés de TotalEnergies pour de telles opérations doit être de l'ordre de 200 personnes pendant la construction du projet et d'une centaine après. Toutes nos opérations s'appuient profondément sur des emplois locaux et, généralement, nous profitons de la phase de construction des projets pour mettre en place des formations qui nous permettent d'employer des opérateurs locaux. C'est une demande légitime. D'ailleurs, l'Ouganda est un pays qui insiste beaucoup sur ce que l'on appelle le contenu local, que nous prenons en charge.
C'est aussi le cas en Angola, où je me suis rendu cette semaine : sur 2 500 personnes que nous employons, 2 400 sont des Angolais qui occupent des emplois de responsables techniques de l'ensemble de nos opérations.
Nous parlons donc de 80 000 emplois pendant la phase de construction. Ce sont d'ailleurs les chiffres qui figurent sur notre site et dans toutes nos notes.