Comment ne pas désormais intégrer dans notre réflexion et dans nos décisions à venir l'aveu de la représentante de Pfizer, le 10 octobre dernier, devant le Parlement européen médusé, reconnaissant que les vaccins n'ont jamais – jamais ! – été testés contre le risque de contamination. Ainsi s'écroule l'argument socle de la suspension des personnels non vaccinés.