Les défenseurs de la corrida convoquent généralement Hemingway et Picasso comme arguments d'autorité : « Ah, ils aimaient la corrida, donc la corrida c'est bien. » Pour ma part, je préfère citer Robert Badinter qui disait, il y a quelques semaines : « La corrida est une des expressions de la culture du sang et de la mort. Ce ne sera jamais la mienne. »