Elle est, qui plus est, justifiée par des motifs écologiques parfaitement fallacieux puisqu'il s'agit d'installer des arbres en pot sur des dalles de béton et, parallèlement, de bétonner des zones naturelles dans la plaine du Var. Ce projet, qui n'obéit à aucune logique budgétaire et économique, fragilisera l'ensemble du tourisme d'affaires puisque, pendant une dizaine d'années, Nice n'aura plus de palais des congrès. Quant au théâtre, il est abrité sous un chapiteau en toile dans la plaine du Var.
Encore une fois, je demande solennellement à Mme la ministre de la culture de revenir sur l'autorisation de la destruction du théâtre et de s'opposer à ce qui constitue une gabegie budgétaire, une faute culturelle et une erreur environnementale.