Nous le pouvons d'autant moins que cela menacerait le calendrier prévu pour l'examen du texte et les délais constitutionnels que nous devons respecter.
Or nous avons besoin de la troisième partie de ce projet de loi pour financer notre modèle social, pour offrir des moyens à notre système de soins, pour venir en aide aux plus précaires, pour donner corps à notre politique d'autonomie. Aussi, sur le fondement de l'article 49, alinéa 3, de la Constitution ,