Nous ne sommes pas pour la décroissance : nous ne voulons pas moins de tourisme, moins d'activité, moins de richesses. Il faut que l'on change nos modes de vie – de déplacement, en l'occurrence – si l'on veut avoir un impact vertueux sur la trajectoire carbone du pays. C'est peut-être là le point de départ pour ce qui concerne le tourisme. C'est pourquoi nous soutiendrons l'amendement.