Il vise à créer un fonds de soutien doté de 40 millions pour les très petites entreprises (TPE) et les petites et moyennes entreprises (PME) d'innovation afin de favoriser la bifurcation écologique « low tech » et l'économie circulaire : recyclage, réemploi, reconditionnement, écoconception dans les secteurs de l'artisanat, du bâtiment, de l'industrie, mais également de l'ingénierie et de l'innovation sociale, où les emplois sont certes de qualité mais, surtout, non délocalisables.
Certes, 9 à 10 milliards d'aides directes sont consacrées aux entreprises pour leurs activités de recherche et de développement mais trop peu à destination des TPE et des PME, en particulier s'agissant des innovations à haute intensité technologique.