Les intentions sont là – le service national universel évolue, il y a des moyens supplémentaires, on accompagne les collectivités dans la création et la rénovation d'infrastructures sportives, les crédits de la vie associative évoluent également.
Pour autant, le dispositif du SNU est encore inabouti et la gestion de l'Agence nationale du sport (ANS), critiquée, notamment par la Cour des comptes.
Enfin, les résultats concrets des politiques à destination de la jeunesse sont mal évalués, alors que nous y consacrons beaucoup de crédits. C'est pourquoi nous nous abstiendrons.