Il y a quand même un gros problème : le Gouvernement incite des milliers de Français à adopter le chauffage par poêle à granulés de bois, puis les prix augmentent de manière faramineuse – près de 150 % en six mois. C'est le résultat d'une spéculation : des vendeurs ont constitué des stocks et en profitent pour augmenter les prix. C'est du vol organisé. L'État, qui a favorisé l'installation de ce type de chauffage, doit prendre ses responsabilités.
Notre commission doit envoyer un signal avant l'examen en séance publique, en particulier si celui-ci n'a finalement pas lieu en raison du « 49.3 ». Il faut prendre cette question au sérieux et notre amendement devrait rassembler tous les groupes politiques.