Ils l'ont confirmé lors de leur audition par le groupe LFI-NUPES.
Dans des départements où le taux de logements sociaux est important, les gens concernés par des projets de l'Anru comprenant des démolitions ne retrouvent pas un logement social dans leur ville ou à proximité, tout simplement parce qu'on ne reconstruit pas autant de logements qu'on en a détruits. Cela pourrait d'ailleurs conduire à s'interroger sur une politique de rénovation qui passe par des démolitions.
Le manque de logements sociaux est criant et il ne s'explique pas seulement par la disponibilité du foncier. C'est aussi le résultat de constructions insuffisantes.