Lors de l'audition de la direction de la CAF par la commission des affaires économiques, on nous a expliqué qu'en même temps que la CAF devait gérer la réforme très compliquée du mode de calcul des APL, elle avait dû aussi mettre en œuvre un plan de suppression de 1 600 postes d'agents administratifs. Cela pourrait expliquer les dysfonctionnements qui ont pu se produire dans le versement des APL. C'est aussi ce qui explique que le ministère du logement a dépêché le cabinet McKinsey pour accompagner la CAF.
De toute évidence, ces 1 600 postes étaient indispensables au bon fonctionnement de l'institution. C'est pourquoi je propose, à travers cet amendement, de revenir sur leur suppression.