Quiconque a été amené à chercher des hébergements d'urgence pour y loger des personnes, qu'il s'agisse des occupants d'un immeuble en copropriété dégradée – je pense à ce qui s'est passé à Épinay-sur-Seine, dans la plus grande tour de Seine-Saint-Denis – ou de migrants qui se trouvent à la rue, sait qu'il faut toujours, au bout d'un moment, faire ouvrir des gymnases en catastrophe faute de places en nombre suffisant. Ce ne sont pas des chiffres, c'est la réalité concrète. Si l'on supprime 14 000 places…