Depuis le milieu des années 2010, l'armée de l'air et de l'espace fait face à de nombreux départs de ses personnels navigants, en raison de la forte attractivité du secteur aéronautique civil. La concurrence du secteur privé, qui offre généralement des conditions de vie et des salaires bien meilleurs, est en outre forte pour des spécialités de haute technicité ou pour le personnel mécanicien. Même si de nombreux efforts ont déjà été accomplis par la DRH de l'armée de l'air et de l'espace, la fidélisation et le taux de renouvellement du premier contrat restent des défis de première importance. Avez-vous identifié des domaines et des métiers plus spécifiquement concernés par ces tensions et pour lesquels nous devons améliorer la fidélisation ? Ces besoins ont-ils, selon vous, été pris en compte dans le cadre des créations de postes prévues par le PLF pour 2023 ?