Singulièrement depuis le début de la guerre en Ukraine, se repose l'éternel débat masse-rusticité-technologie. Comment en sortir ? La réponse se trouve pour partie dans l'innovation, dans les lignes que vous avez tracées en matière d'économie de guerre, comme on dit désormais, dans le « faire autrement », dans les coûts des opérations européennes. Se pose aussi la question de l'équilibre entre des achats sur étagères et l'entretien et le développement de notre BITD. Aussi, une fois n'est pas coutume, je me joins à la question de notre collègue Jean-Louis Thiériot relative au choix de GPU-49 plutôt que des solutions européennes ou françaises. D'autre part comment se fait l'articulation entre l'AID, la DGA, l'Agence européenne de défense (AED), la Jedi, Hedi et Diana, le fonds pour l'innovation de l'Otan ? Quel est votre point de vue sur cette nouvelle configuration à la fois stimulante et touffue en matière d'innovation ?