En matière de préservation du patrimoine religieux, la vigilance de vos services s'impose. La restauration de tout édifice religieux abandonné ne doit pas être financée par de l'argent public. L'État n'a pas à voler au secours de tout bâtiment détérioré, au risque, sinon, que l'intégralité du budget de votre ministère y passe. De plus, du point de vue de la laïcité, on s'aventurerait sur un terrain glissant. Je propose donc que nous reprenions un jour cette discussion avec vos services car des précisions s'imposent. Le sujet préoccupe l'ensemble des collègues, mais je pense que l'on ne parle pas toujours exactement de la même chose.