Chers collègues, si vous me demandez la parole, je vous la donne volontiers. En revanche, je juge que les interpellations ne sont ni utiles à la bonne tenue du débat et à la compréhension des arguments avancés, ni agréables. Lorsque vous souhaitez prendre la parole, levez le chevalet portant votre nom et je pourrai vous la donner. Monsieur Corbière, si vous voulez bien procéder de la sorte la prochaine fois, ce sera beaucoup plus facile.