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L'amendement vise à ce que les personnes se chauffant au bois reçoivent un chèque correspondant à celui qui est versé aux personnes se chauffant au fioul. Compte tenu de ce qui a été dit et de ce que nous venons de voter, je le retire au profit de l'amendement n° 605.
...rnement augmentant les crédits du programme Énergies, climat et après-mines. Nous apportons une aide à tous ces Français qui vivent très durement la hausse du prix des granulés à bois et du bois pour se chauffer. Les orateurs ont rappelé la nature spéculative de cette augmentation, et les parlementaires se doivent d'apporter une solution à nos concitoyens. L'amendement vise à instaurer un chèque pour le bois qui complète le chèque énergie et le chèque que nous avions voté, à l'initiative des députés Les Républicains, pour aider nos concitoyens qui se chauffent au fioul. Je me réjouis de cette grande avancée qui permettra aux Français de passer l'hiver dans de meilleures conditions.
Il vise à revaloriser les seuils d'éligibilité au chèque énergie. En effet, comme le soulignait le rapport de la Cour des comptes l'année dernière, l'absence d'actualisation de ces seuils entraîne chaque année la sortie du dispositif de milliers de personnes.
Nous avons fait mieux, madame la députée, nous avons augmenté le montant du chèque énergie, qui s'ajoute au bouclier énergétique. Par conséquent, l'avis est défavorable.
Ce nouvel amendement de Mme Youssouffa vise à augmenter les crédits alloués au programme Conditions de vie outre-mer au profit du chèque alimentaire à Mayotte, territoire le plus pauvre de France. Le PIB par habitant y est de 9 706 euros, contre 23 059 euros en Guadeloupe, 22 148 à La Réunion et 15 260 en Guyane. En outre, 84 % de la population de Mayotte vit sous le seuil de pauvreté, c'est-à-dire 959 euros par mois et par ménage, et le chômage touche plus d'un actif sur quatre.