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Interventions sur "extrême"

21 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Quelle déchéance ! Quelle faute historique d'offrir ainsi un plateau d'argent à l'extrême droite, à l'heure de la fièvre populiste et fasciste qui gangrène nos démocraties. L'histoire nous regarde : cessez cette folie !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEdwige Diaz :

En déposant cette motion de rejet, l'extrême gauche fait une fois de plus la démonstration qu'elle est aveuglée par son idéologie et qu'elle est profondément déconnectée des préoccupations des Français. En effet, 68 % d'entre eux sont favorables à une réforme de l'aide médicale de l'État, 74 % à la suppression du droit du sol, 80 % au rétablissement du délit de séjour irrégulier et 80 % à l'exécution de l'ensemble des OQTF, les obligations ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEdwige Diaz :

Les Français l'amélioreront lorsque nous leur donnerons la parole par voie de référendum. Nous voterons contre la motion de rejet de l'extrême gauche immigrationniste.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndrée Taurinya :

Vous cédez aux passions les plus terribles de l'extrême droite embusquée. Vous sciez la branche sur laquelle vous êtes assis en creusant chaque jour un peu plus notre tombe. S'abstenir, c'est soutenir. Les députés de La France insoumise voteront le rejet de ce texte. Nous exhortons les derniers républicains authentiques de cet hémicycle

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

…et d'une histoire – celle de la République – qui nous oblige. Chers collègues, un texte consacré aux étrangers voté avec l'extrême droite, par l'extrême droite et pour l'extrême droite,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

Vous avez offert une « victoire idéologique majeure » à l'extrême droite, pour reprendre ses propres mots.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

L'histoire d'une cheffe de gouvernement qui voulait sauver son poste, coûte que coûte, quoi qu'il en coûte à des millions d'étrangers qui fuient la guerre, la faim et le dérèglement climatique au péril de leur vie. C'est l'histoire d'un président qui s'est fait élire contre l'extrême droite et qui nous propose aujourd'hui de voter son programme.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Sans majorité, vous vous trouvez aujourd'hui entraînés dans ce qu'elle a toujours rêvé de réaliser : l'alliance des droites et de l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Le seul appel d'air que je ressens – il a une odeur nauséabonde –, c'est celui du racisme et de la xénophobie décomplexée que vos manœuvres favorisent. Quelle déchéance, quelle faute historique de dresser ainsi un plateau d'argent à l'extrême droite à l'heure de la fièvre populiste et du fascisme qui gangrènent nos démocraties.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

La faute ne prend pas racine dans la CMP mais dans la proposition initiale du Gouvernement. Là où l'extrême droite arrive au pouvoir par les urnes, elle y accède d'abord à cause des grands renoncements, abandons et compromissions de ceux qui sont au pouvoir avant elle.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

La contrefaçon raciste n'est jamais préférée à l'originale. L'histoire nous regarde, chers collègues. N'ajoutez pas le déshonneur à la compromission et rejetez ce texte de la honte. Honte pour le Président de la République, élu pour faire barrage à l'extrême droite, honte pour notre pays et ses valeurs : le présent texte s'apparente à un tract du Front national, empruntant les mots de Jean-Marie Le Pen.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSylvain Maillard :

Les Français n'en peuvent plus des fausses promesses et des demi-mesures ! Ils ne nous demandent pas des symboles ; ils nous demandent de l'efficacité. Quand je regarde à l'extrême gauche,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSylvain Maillard :

Quand je regarde à l'extrême droite, je vois ceux qui ont été élus sur du populisme contre les immigrés. Madame Le Pen, nous ne voulons pas de votre vote…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉlisa Martin :

Comment osez-vous dire que le durcissement du texte est de notre responsabilité alors que, dès le départ, vous le saviez destiné à une commission mixte paritaire dominée par la droite extrême ? Cette commission mixte paritaire est un échec. Vous, le Gouvernement, avez court-circuité cette CMP par des tractations de couloirs.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

...tégrateur et ferme pour tous ceux qui ont vocation à rester chez nous, et clair et juste pour ceux qui doivent quitter notre sol. Il ne restait plus au Parlement qu'à faire son œuvre de législateur. Malheureusement, lundi dernier, reniant la parole donnée à ceux qui les ont élus, une majorité de députés ont voté une motion de rejet venant de la gauche, ralliant à eux les voix de la droite et de l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Souvenez-vous de 2017 et de 2022, des conditions de l'élection du président Macron face à l'extrême droite, nos voix se mêlant aux vôtres parce qu'il en allait de l'essentiel. « À celles et à ceux qui ont voté pour moi, non pour soutenir mes idées mais pour faire barrage à celles de l'extrême droite, votre vote m'oblige », disait-il alors.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Rien n'obligeait le Gouvernement, qui a tout négocié, à tout céder. Rien ne vous oblige à céder à une droite devenue le valet docile de l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Rien ne vous oblige à vous aventurer sur des terres qui ne sont pas les vôtres, et que d'autres après vous utiliseraient contre la République, contre l'État de droit, et en définitive contre la France. Où en sommes-nous ce soir ? Le torrent de haine de l'extrême droite s'est grossi de la démagogie et des mensonges de la droite, avec la complicité de l'exécutif. Nous n'avons pas débattu de politique migratoire, mais de politique anti-immigrés.