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« Cessez-le-feu ! » Voilà le message qui nous vient du secrétaire général de l'ONU, du pape et de nombreux chefs d'État – d'Irlande, de Suisse, d'Espagne, du Mexique et de tant d'autres pays.
« Cessez-le-feu ! » Voilà ce qui a rassemblé des dizaines de milliers de citoyens hier encore à l'appel de la CGT, de la FSU, de Solidaires, d'Attac, de La France insoumise et de nombreuses autres organisations.
« Cessez-le-feu ! » Voilà l'appel que vous vous refusez toujours à lancer. Dans le concert des nations pour la paix, la voix de la France manque. À l'heure où je parle, 1 400 Israéliens ont été tués…
Face à cette spirale de la violence, la France doit parler d'une voix forte pour œuvrer à la paix et au cessez-le-feu.
Car seul un cessez-le-feu immédiat permettra de sauver des dizaines de milliers de vies innocentes. Seul un cessez-le-feu permettra que les otages puissent être libérés…
« Cessez-le-feu ! » Pourquoi la France reste-t-elle silencieuse et est-elle incapable de dénoncer avec la même force les crimes de guerre commis par le Hamas et ceux commis par le gouvernement de M. Netanyahou ?
La France est désormais montrée du doigt dans le monde et par les peuples. Cela doit cesser. Membre du Conseil de sécurité de l'ONU, la France doit peser de tout son poids pour permettre l'adoption d'une résolution exigeant un cessez-le-feu pour arrêter une escalade meurtrière. Cet abandon de l'engagement historique de la France pour la paix est arrivé à son paroxysme jeudi dernier. Au Parlement européen, les eurodéputés macronistes ont voté contre la proposition des Insoumis visant à obtenir un cessez-le-feu à Gaza.
Madame la Première ministre, la France doit urgemment agir pour le cessez-le-feu et non faire taire ceux qui le demandent. « Cessez-le-feu ! » Madame la Première ministre, voilà les mots que la France doit retrouver, que nous prononçons depuis plus de deux semaines désormais et qui nous valent tombereaux d'insultes et menaces de morts.
celle de l'ONU ! Nous, Insoumis, n'aurons pas à rougir devant l'Histoire car face à l'horreur, nous n'aurons eu qu'un seul mot d'ordre : « Cessez-le-feu ! » et qu'une seule boussole : la paix. Nous invitons à la paix et non à des déplacements improvisés et bellicistes. Les propos tenus hier par la présidente de l'Assemblée, quatrième personnage de l'État,…
...rasement d'un Moyen-Orient qui n'en a pas besoin. « Ne pas déshumaniser l'autre à un point qui confisquerait notre âme », disait il y a quelques jours Delphine Horvilleur. Ne pas laisser le Hamas gagner à Gaza, même sur un champ de ruines. C'est pourquoi nous, députés socialistes et apparentés, appelons au respect du droit international et demandons l'ouverture de négociations immédiates pour un cessez-le-feu,…
...ute tentative future de mettre en œuvre une sortie du conflit acceptable pour tous. Ces Palestiniens et ces Palestiniennes, ces Israéliens et ces Israéliennes, ces voix agissantes sont le plus bel horizon de notre humanité et notre espoir de paix. Notre place de démocrates, d'Européens qui savent le prix de la guerre et la valeur de la paix, est à leurs côtés. Au-delà des exigences immédiates de cessez-le-feu et de désescalade qui doivent être défendues par toutes les voies diplomatiques possibles, il est plus urgent que jamais de trouver le chemin d'un dialogue politique pour la relance d'un processus de paix globale, en perdition depuis des décennies, allant au-delà d'accords séparés qui oublient parfois les aspirations du peuple palestinien. Chacun le mesure dans cet hémicycle mais il faut que chac...
La riposte du gouvernement de Netanyahou est inacceptable d'un point de vue moral et non conforme au droit. La France, dans l'Union Européenne, doit être ferme face au gouvernement israélien. Elle doit réaffirmer l'exigence d'une pause humanitaire et d'un cessez-le-feu.
La pause humanitaire est l'outil permettant un arrêt immédiat des bombardements afin de sécuriser la fourniture de biens de première nécessité aux habitants de Gaza ; elle doit permettre d'aboutir à un cessez-le-feu. Alors que cette position est aujourd'hui majoritaire à l'ONU, la France doit user de tout son pouvoir diplomatique pour empêcher que les États-Unis n'utilisent de nouveau leur droit de veto à l'encontre du respect de cette pause humanitaire. Elle sera le socle sur lequel nous pourrons bâtir un cessez-le-feu négocié entre l'ensemble des parties. La France dans l'Union européenne, au nom des vale...
...parfois enceintes, des bébés –, tous morts sous les bombardements aveugles de l'armée israélienne. Nous ne pouvons pas avoir d'indignation sélective. Notre émotion et notre colère doivent être les mêmes pour chaque enfant qui meurt aujourd'hui en Israël ou en Palestine. Chacun a besoin de sécurité, d'eau, d'électricité, de soins, d'école. C'est pourquoi nous demandons que la France appelle à un cessez-le-feu immédiat et condamne sans réserve l'opération qui a cours dans la bande de Gaza, où plus de 2 millions de civils palestiniens sont pris au piège avec les otages israéliens, où l'aide humanitaire arrive au compte-gouttes, où des bâtiments civils, comme ceux de l'ONU, sont détruits, ainsi que 20 000 logements, et où vingt-neuf membres des personnels de l'ONU figurent parmi les victimes. Le droit à...
C'est pourquoi, plus que jamais, les voix de la paix doivent pouvoir s'exprimer. Les rassemblements pacifiques qui s'élèvent contre l'ensemble de ces crimes, qui dénoncent le terrorisme et appellent à la paix, au cessez-le-feu, à la fin du blocus criminel et à l'ouverture de négociations pour qu'enfin un État palestinien puisse voir le jour aux côtés d'un État israélien, ne peuvent être interdits. Chaque parole compte, chaque décision pèse. Nous avons donc, madame la Première ministre, besoin d'entendre votre gouvernement s'exprimer d'une voix forte en direction des peuples du Proche-Orient, une voix qui condamne le t...
...lisé, qui emporterait toute la région en mettant directement aux prises l'Iran, Israël et les États-Unis ; à l'heure où les autorités iraniennes excitent la colère des populations et téléguident des mouvements terroristes contre l'État hébreu et ses alliés, nous demandons que la France, membre du Conseil de sécurité des Nations unies, exprime sa propre voix, en toute indépendance, et appelle à un cessez-le-feu immédiat. Nous demandons qu'elle porte ce flambeau de la paix et renoue avec une politique diplomatique qui respecte tous les peuples de la région, et qu'elle agisse avec fermeté pour empêcher l'embrasement global du Proche et du Moyen-Orient, qui créerait les conditions des pires affrontements. Madame la Première ministre, les députés communistes et ceux du groupe GDR, qui se sont toujours batt...