4 interventions trouvées.
Je pèse mes mots. Dans les quartiers prioritaires de Seine-Saint-Denis, le nombre de médecins et de psychologues est bien moins élevé que la moyenne nationale.
– en tout cas, le drame qui a été vécu – et, d'autre part, les violences. Il est bon de parler de ce que l'on connaît. Si j'évoque cette question, c'est parce que je la connais : je vis des situations de ce type quotidiennement. Il y a deux jours, un jeune a été abattu dans un quartier de Mamoudzou ; d'autres l'ont été avant lui, il y a une semaine, deux mois, six mois, un an, six ans… Lorsque les élus mahorais dénoncent ces faits, on les accuse, sur vos bancs, madame Garrido, de racisme et de xénophobie. Lorsque M. le ministre de l'intérieur et des outre-mer essaie de ramener la paix et s'efforce de rechercher les délinquants, vous dénoncez des atteintes aux droits de l'homme...
Parmi les bâtiments qui ont subi des dégradations, le plus souvent dans les quartiers populaires, certains avaient une vocation culturelle et artistique. Or, nous, à la NUPES, en particulier à La France insoumise, nous considérons que ces équipements relèvent d'une forme de service public, car l'accès à la culture et à l'art est, pour les populations concernées, une forme d'affranchissement social. Posez-vous la question, collègues du RN : cherchons les causes, au lieu de réduire...
Par cet amendement, nous souhaitons que soit évalué l'impact qu'aura le projet de loi sur les petites et moyennes entreprises implantées dans les quartiers populaires. Les dérogations aux règles d'allotissement proposées par ce texte vont de facto avantager les grandes entreprises du bâtiment et travaux publics (BTP), alors qu'il existe localement des savoir-faire qui pourraient s'exercer sur les chantiers. Les grandes entreprises ont par ailleurs souvent recours à la sous-traitance, avec les conséquences que l'on connaît sur les conditions...