5 interventions trouvées.
…de telle sorte que les enfants souhaitant manger, en quantité modérée, de la viande locale et de qualité en aient la possibilité, et que les enfants souhaitant manger végétarien puissent également, selon le lieu, le faire. C'est le travail des collectivités ; laissons-les faire, accompagnons-les, mais sans les contraindre par la multiplication des obligations.
Si on veut atteindre la neutralité carbone en France d'ici 2050, il faut réduire considérablement notre consommation de viande, puisque – vous le savez – l'élevage est responsable d'une large part des émissions de gaz à effet de serre. Il faut la réduire d'au moins 20 % et même de 70 %, nous dit l'un des scénarios de l'Ademe. Mais pour y parvenir, il faut notamment, entre autres leviers, que nos cuisiniers soient formés à la cuisine végétale, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
À ce stade, je voudrais faire quelques remarques. Pendant que les animalistes préparent l'opinion à ne plus manger de viande, je m'inquiète à propos des financeurs les plus féroces et les plus activistes de la planète, qui investissent dans des produits de substitution. Coïncidence ou conflit d'intérêts ? Je m'interroge.
Des ONG financées par les plus gros investisseurs de la planète enjoignent à trouver des alternatives à la viande, en raison des risques qu'elle ferait courir à la planète.