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26 interventions trouvées.
...gence de responsabilité. Les Français ont élu une assemblée sans majorité absolue. Ils nous invitent à des pratiques nouvelles, à un dialogue soutenu, à la recherche active de compromis. Le contexte nous oblige. La guerre en Ukraine, aux portes de l'Europe, nous rappelle combien la paix est fragile. Les prix de l'énergie augmentent et nous devons continuer à protéger les Français. L'épidémie est toujours là et notre vigilance doit rester totale. L'urgence écologique se fait chaque seconde plus pressante et nous avons un devoir d'action. L'insécurité inquiète nos concitoyens et brise encore des vies et des destins. Nous devons en convenir : dans les dernières semaines, du fait de la guerre qui dure, notre situation économique s'est assombrie. Nos perspectives de croissance se dégradent et les tau...
Mon identité, c'est une France plus forte dans une Europe plus indépendante ; c'est l'égalité entre les femmes et les hommes, toujours, tout le temps ; c'est le respect de la laïcité sans accommodement ni compromission ; c'est le refus d'opposer les uns aux autres et de désigner des boucs émissaires ; c'est le courage de dire la vérité aux Français.
Nous avons rendu le travail toujours plus incitatif avec la réforme de l'assurance chômage.
Enfin, grâce au plein emploi, nous créerons de la richesse et nous pourrons financer notre modèle social. Vous le savez, nous avons toujours dit les choses clairement aux Françaises et aux Français.
Nous devons construire des liens plus forts entre établissements et domiciles, créer des EHPAD hors les murs pour une prise en charge toujours plus adaptée à chaque situation. Les investissements du Ségur de la santé ont été une étape majeure pour cette transformation, mais nous devons aussi relever le défi de l'attractivité pour permettre le recrutement de 50 000 infirmiers et aides-soignants d'ici à 2027. Lors du précédent quinquennat nous avons créé la cinquième branche de la sécurité sociale, nous avons posé les fondements du fina...
...on des assistants d'enquête. La réponse passe aussi par l'efficacité de la justice, par des décisions rapides et respectées. Les états généraux de la justice, lancés par le Président de la République, ont montré qu'il fallait des moyens supplémentaires et des méthodes nouvelles, qu'il fallait répondre à la crise de confiance de nos concitoyens, aux attentes fortes des professionnels et garantir, toujours, l'indépendance de la justice. Mon gouvernement vous proposera une loi de programmation pour la justice. Nous voulons notamment recruter 8 500 magistrats et personnels de justice supplémentaires pour une justice plus proche, pour réduire les délais et permettre aux juges de se concentrer sur leurs missions fondamentales.
Je veux que nous ayons, en lien étroit avec les élus, les associations, les magistrats et les forces de l'ordre, une action toujours plus résolue dans la lutte contre les violences sexuelles, sexistes et intrafamiliales. C'est mon combat. Je l'ai mené comme préfète ; je le mènerai comme Première ministre
La pandémie nous a prouvé notre trop forte dépendance aux industries étrangères. La guerre en Ukraine nous a rappelé que nous devions faire front pour faire entendre notre voix. Les crises migratoires nous ont montré le besoin de solidarité européenne et la nécessité de toujours mieux protéger nos frontières. L'Union européenne nous protège et nous projette dans l'avenir. Une Europe plus forte, c'est une France plus forte.
la France, notre France, c'est celle qui vient en aide à ceux qui en ont besoin, celle qui ne laisse personne sur le côté et tend toujours la main, celle de la solidarité, de l'engagement et de la volonté. Mais c'est aussi la France des craintes que nous devons écouter, des peurs auxquelles nous devons répondre, et parfois des colères que nous devons apaiser. Toute cette France, c'est la nôtre. Soyons à sa hauteur, à la hauteur des Françaises et des Français. Une nouvelle page de notre histoire politique s'ouvre. Nous allons l'écrir...
Sur les principes qui sont les nôtres, vous nous trouverez toujours fermes ; selon l'attitude du Gouvernement, résolus soit à nous opposer si les mesures vont dans le mauvais sens, soit à trouver des voies de passage dès lors qu'ils sont pris en compte.
Vous n'avez jamais dévié : vous souhaitez toujours gouverner contre le peuple, sauf que votre pouvoir est en voie de décomposition. Depuis le 19 juin 2022, vous avez tout fait pour dissimuler votre pouvoir par effraction. Vous avez d'abord lancé une opération de sauvetage.
Les citoyens avaient le choix entre le pire et le pire du pire ; ils ont choisi le pire. Malgré tout, Emmanuel Macron ne veut rien lâcher de son programme impopulaire. Dorénavant, tout sera comme auparavant. Pour lui, l'élection législative n'a jamais eu lieu. Comme toujours en Macronie, l'essentiel est de simuler la démocratie pour mieux la bafouer. Le Président a feint d'engager les discussions : désormais, la balle serait dans le camp des oppositions, il nous incomberait à nous de nous situer par rapport au parti majoritaire, qui n'est à présent plus majoritaire. En d'autres termes, soit nous avalisons la guerre sociale, la retraite à 65 ans et le conditionnement ...
…ou de la secrétaire d'État visée par des accusations de viols gynécologiques, toujours en fonction à ce jour !
Le camouflet électoral des législatives porte votre nom, mais vous êtes toujours là ! À un gouvernement chaotique en succède un autre. Vous promouvez les amis qu'il vous reste ; rares sont ceux qui veulent monter à bord du Titanic. Alors l'équipe des volontaires ressemble à s'y méprendre à un fond de tiroir. Dans ce gouvernement « darmanisé », on croise des hommes essentiellement : onze hommes ministres contre cinq femmes.
Les familles et les entreprises françaises sont toujours aussi accablées d'impôts et de taxes : le taux des prélèvements obligatoires était en 2021 le même qu'en 2016…
Il nous faudra revoir notre façon de légiférer et de travailler ensemble, entre nous d'abord mais également avec le Gouvernement, dans le cadre d'un dialogue constructif permettant d'aboutir à des accords solides car viables dans le temps et consentis par tous. Pour y parvenir, vous me trouverez toujours à vos côtés, madame la Première ministre, en qualité de médiateur, tout comme le groupe Démocrate. La semaine dernière, pour la première fois, nous avons élu une présidente de l'Assemblée nationale. Pour tous les parlementaires, c'est une fierté et c'est un signe incontestable que les mentalités évoluent. Pour la première fois, nous avons choisi un député d'un parti qui n'avait jamais gouverné à...
Dans cette assemblée, comme socialistes et comme républicains, nous servirons toujours une autre idée de la France. Madame la Première ministre, nous ne vous rejoindrons pas pour mettre en œuvre un programme et un projet libéraux qui ne sont pas les nôtres et pour lesquels les électeurs ne nous ont pas désignés. Nous nous sommes opposés durant cinq ans à la baisse des APL, à l'abandon de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et à l'instauration de la flat tax. Nous avo...
...nt la confiance d'une large partie de l'Assemblée, qui allait du centre droit jusqu'aux troupes de Jaurès. Ce gouvernement-là sera le plus long de la III
La transition écologique ne constitue toujours pas le cœur des politiques publiques. Je vous le dis plus clairement encore : madame la Première ministre, votre projet a cinquante ans de retard !
Madame la Première ministre, votre refus de soumettre votre déclaration de politique générale au vote de la représentation nationale traduit le décalage de votre feuille de route avec les attentes du pays. Vous considérez que votre Gouvernement ne tire pas sa légitimité de l'Assemblée nationale, mais encore et toujours du chef de l'État. Cela ne présage rien de bon pour l'avenir de notre pays. C'est pourquoi nous prendrons, pour notre part, toutes nos responsabilités en agissant tant au sein de la NUPES qu'en tant que groupe indépendant, qui est force de proposition et qui a la culture du débat démocratique.