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Interventions sur "concitoyens"

25 interventions trouvées.

Élisabeth Borne, Première ministre :

…la planète à préserver. C'est le sens de l'action du Président de la République depuis cinq ans ; c'est notre mission collective, au Gouvernement comme sur ces bancs. Avec vous, avec tout le Gouvernement, avec nos concitoyens, nous réussirons ; j'y suis déterminée. Ces dernières semaines, à quatre reprises, les Françaises et les Français se sont exprimés. Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir, et d'agir autrement. Par leur message, ils nous demandent de prendre collectivement nos responsabilités. Nous le ferons. Ensemble, nous répondrons à l'écho de l'abstention. Elle est le signe d'une démocratie mal...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Ils n'accepteront ni immobilisme, ni obstruction, ni invective. Ils veulent un Gouvernement et un Parlement d'action. Nous avons une responsabilité historique vis-à-vis de nos concitoyens : responsabilité dans la manière d'agir, dans les réponses à offrir, dans les résultats à apporter. À partir du cadre choisi par les Français, je vous propose de bâtir ensemble. Notre premier défi, et je sais que cela fait consensus parmi nous, c'est de répondre de façon urgente à la question du pouvoir d'achat. Sous l'impulsion du Président de la République, de nombreuses mesures ont été prises...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Sans elles, un plein de 60 litres coûterait 11 euros de plus. Nous avons réalisé un investissement rapide et massif pour le pouvoir d'achat des Français. Grâce à lui, notre inflation est la plus faible de la zone euro. Nous avons protégé les Français et nous allons continuer car un grand nombre de nos concitoyens restent à la merci des hausses de prix. Dès demain, mon gouvernement présentera en Conseil des ministres des textes d'urgence qui comporteront des mesures concrètes, rapides et efficaces pour lutter contre l'inflation.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...urs qui le peuvent qu'ils prennent leurs responsabilités. Nous pouvons, nous devons, aller plus loin en la matière. Notre deuxième défi est de bâtir ensemble la société du plein emploi. C'est une conviction qui m'anime profondément, une conviction nourrie par mon parcours, par deux ans passés comme ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, par nos échanges et par ceux que j'ai avec nos concitoyens. Nous devons changer notre rapport au travail. Le cœur de ce changement est le plein emploi et le bon emploi.

Élisabeth Borne, Première ministre :

En la matière, la transparence est une exigence et les faux-semblants un manque de respect pour nos concitoyens. Notre modèle social est un paradoxe : à la fois l'un des plus généreux et l'un de ceux dans lesquels on travaille le moins longtemps.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...igatoire de l'examen d'officier de police judiciaire et la création des assistants d'enquête. La réponse passe aussi par l'efficacité de la justice, par des décisions rapides et respectées. Les états généraux de la justice, lancés par le Président de la République, ont montré qu'il fallait des moyens supplémentaires et des méthodes nouvelles, qu'il fallait répondre à la crise de confiance de nos concitoyens, aux attentes fortes des professionnels et garantir, toujours, l'indépendance de la justice. Mon gouvernement vous proposera une loi de programmation pour la justice. Nous voulons notamment recruter 8 500 magistrats et personnels de justice supplémentaires pour une justice plus proche, pour réduire les délais et permettre aux juges de se concentrer sur leurs missions fondamentales.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...enveillance, mais surtout avec pugnacité. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas d'être les premières, mais de nous inscrire dans le temps long. Madame la Première ministre, vous venez de nous exposer la feuille de route que vous fixez au Gouvernement. Il me revient, en tant que présidente du principal groupe de l'Assemblée, de préciser nos intentions et l'état d'esprit qui nous anime alors que nos concitoyens s'interrogent légitimement sur notre capacité, majorité comme oppositions, à adapter les pratiques parlementaires à la nouvelle donne politique qu'ils ont choisie. Nous sommes collectivement dépositaires d'un héritage, la Constitution de la Ve République ; moi-même comme l'ensemble des députés de mon groupe y restons fidèles. Fidèles à celui qui l'a inspirée : le général de G...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…mais cette Ve République qui nous fait, qui nous tient et que, dans cette majorité présidentielle, nous voulons faire vivre. Face aux temps présents, nous devrons de nouveau en faire évoluer l'usage, car les attentes de nos concitoyens sont fortes, notamment s'agissant de leur association aux processus de décision. Mais faire évoluer, ce n'est pas déconstruire ; améliorer, ce n'est pas trahir les intentions des constituants de 1958. Le débat d'aujourd'hui nous offre l'occasion de clarifier et de définir un cap et un chemin. Que les opposants acharnés à la Ve République s'en offusquent, rien de plus normal ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Plus personne ou presque ne remet en cause la nécessité d'agir pour lutter contre le dérèglement climatique et pour nous préparer aux effets inéluctables des changements en cours. Cependant, derrière ce relatif consensus sur les enjeux, il y a la réalité vécue par nos concitoyens, qui justifie des réformes et des décisions. La réalité d'une école qui, trop souvent encore, malgré l'engagement de ses acteurs et les moyens qui lui sont consacrés, reproduit les inégalités. La réalité des déserts médicaux et des difficultés d'accès aux soins sur tout le territoire, malgré l'implication admirable de nos soignants et les efforts considérables engagés au cours des dernières année...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...ement, pour atteindre un but précis : élaborer et adopter des textes plus efficaces et plus en adéquation avec les réalités du pays. Ils permettront aux Français de se projeter, ils répondront à leurs difficultés particulières et leur donneront collectivement confiance en leur avenir. J'en donnerai deux exemples. D'abord, le projet de loi visant à garantir le pouvoir achat : très attendu par nos concitoyens, il procède d'une exigence d'efficacité et de solidarité. Nous ne sommes pas tous égaux pour supporter le poids de l'inflation : il nous reviendra de nous assurer que les mesures que nous défendrons seront adaptées à toutes les situations et qu'elles atteindront réellement leur cible. Avec ce texte, nous pourrons montrer que nous sommes capables de compromis.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...on de qualité, sans que jamais cela ne soit au détriment de ceux qui nous nourrissent. Pendant l'examen de ce texte, madame la Première ministre, nous nous conduirons en partenaires loyaux et positifs du Gouvernement, nous serons ouverts à la discussion et aux améliorations que proposeront nos collègues des autres groupes politiques, dans le respect de l'engagement que nous avons pris envers nos concitoyens.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

Nous sommes en effet face à des défis immenses. Il nous reviendra, ensemble, de poursuivre les réformes utiles à notre pays, pour lesquelles nos concitoyens ont réélu le Président de la République. Pour ce faire, il nous faudra continuer à libérer les énergies sans casser les talents et réparer la cohésion de notre société.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

...entation de 11 points de PIB de la dette en dix ans. Revenir à une maîtrise réelle de nos finances est une obligation, pas une option. Nous devrons réfléchir aux solutions pérennes qui permettront de retrouver un point d'équilibre viable pour l'économie et pour la société. Le monde change. La France change. La société change. Notre pays est divisé : notre devoir est de tout faire pour réunir nos concitoyens. Cela nous oblige à faire preuve de plus de solidarité et de responsabilité. La crise sanitaire nous a montré la fragilité de notre société et des États. Chacun d'entre nous l'a ressenti à son propre niveau, du retraité à l'étudiant, du chef d'entreprise au salarié. Nous devrons donc renforcer notre capacité à répondre à une nouvelle crise, tout en restaurant nos moyens de résilience collectifs. ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Notre situation économique devient chaque jour plus périlleuse et pèse sur notre dette publique. Trop nombreux sont nos concitoyens qui souffrent d'un pouvoir d'achat indigne, dans un contexte d'inflation galopante. L'approvisionnement énergétique de l'Europe est menacé et les événements climatiques extrêmes se multiplient. Enfin, malheureusement, la pandémie menace à nouveau. En ces temps de grands bouleversements, la France court le risque de se retrouver en marge des affaires du monde. Nous courons, mes chers collègues, l...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

...te contre la grande précarité à celle des discriminations de toute forme : voilà, aggravées par la recrudescence des contenus toxiques en ligne, les urgences de notre siècle, celles auxquelles nous devons donner la priorité. Dans le même temps, nous devrons travailler sans relâche sur la santé, l'autonomie, le grand âge ; nous devons travailler à faire émerger une société plus inclusive pour nos concitoyens en situation de handicap. Ensuite, il nous faut préserver notre souveraineté budgétaire et financière. Notre dette publique se monte à 2 813 milliards d'euros, soit près de 120 % de notre PIB. Cela doit nous alerter, et nous sommes nombreux à souhaiter que notre État soit plus économe et revienne sur une trajectoire financière soutenable. Nous sommes, mes chers collègues, que nous le voulions ou...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

Votre politique de défaisance sociale, conduite avec acharnement, a attisé la colère de nos concitoyens, qui assistent à l'effondrement de notre système de santé, au dépeçage de notre système éducatif, au recul des services publics, à la dégradation de l'environnement et de leurs conditions de vie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

Nous récusons l'arbitraire de ces fameuses lignes rouges. Nous avons une exigence : revoir de fond en comble notre système fiscal pour garantir une meilleure répartition des richesses et de la valeur, réduire les écarts de revenu, pénaliser la rente financière et améliorer significativement le niveau de vie de l'immense majorité de nos concitoyens. Il nous faut appliquer ce que préconisait l'abbé Pierre, qui soutenait que « le contraire de la misère, ce n'est pas la richesse. Le contraire de la misère, c'est le partage. »

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

De telles mesures répondent non seulement à une attente de nos concitoyens, mais aussi à une nécessité économique. L'enjeu est ici de favoriser l'accès de tous à une alimentation et à des biens plus durables et de meilleure qualité. L'urgence est enfin, au niveau international, de promouvoir la paix. Cela passe, en Europe, par la résolution des causes profondes du conflit ukrainien. Nous ne créerons pas les conditions d'une sécurité collective européenne sans remettre ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

Davantage encore que dans les autres territoires oubliés de la République, nombreux sont nos concitoyens d'outre-mer à survivre sous le seuil de pauvreté. L'inflation amplifiera ces ravages si des mesures fortes ne sont pas prises sans plus attendre. La revalorisation du coefficient géographique est devenue une urgence et ne peut être encore reportée.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

Nous débutons ce mandat avec beaucoup de gravité. Notre pays n'a jamais été aussi fracturé, au bord de l'implosion. Nous sommes tous porteurs des messages et des angoisses de nos concitoyens. Nous devons être à la hauteur de cette responsabilité. Perspective d'une crise économique, septième vague du Covid, guerre en Ukraine, montée des inégalités, système de santé à bout de souffle, coût de la vie exorbitant, dérèglement climatique… la liste des menaces est malheureusement si longue, et nos concitoyens tellement désabusés – voire désespérés – qu'ils refusent d'aller voter. Notre dev...