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...sibilité de couper le gaz à certains gros clients quand le besoin s'en fait sentir. Petite remarque technique : comme cela peut être un peu long de remettre en route des installations qui fonctionnent au gaz, on imagine que ce sera une solution de dernier recours. Pourquoi est-on obligé d'en passer par là ? Répétons-le : parce que nous n'avons pas pris la peine de développer des alternatives aux énergies fossiles qui nous rendent dépendants des importations, des aléas du marché et de la géopolitique. À l'inverse, nous aurions pu développer les énergies renouvelables. Vous pourrez m'objecter qu'elles sont soumises à un aléa météorologique. Mais le soleil distribue ses rayons gratuitement tous les jours, le vent n'est pas fourni par des régimes autoritaires, et les marées animent les côtes de l'Hexagone et...
Chers collègues, nous pouvons certes choisir de sortir totalement des énergies fossiles pour cesser d'en être dépendants. Mais refuser d'exploiter nos propres ressources tout en restant dépendants d'énergies fossiles extérieures, c'est complètement absurde : c'est la double peine ! Il ne faut pas opposer l'un à l'autre. C'est vous qui êtes absurdes, pas nous.
Nous, nous sommes logiques : si nous avons besoin d'énergies fossiles, autant utiliser celles dont nous disposons en France le temps de pouvoir nous en débarrasser. L'exploitation des énergies fossiles domestiques permettrait d'ailleurs de financer la transition énergétique, grâce à la marge qu'elle dégagerait. C'est donc votre positionnement qui est complètement absurde. La deuxième option, c'est le développement des gaz verts. Nous avons pris un retard considéra...
La proposition consistant à développer l'exploitation de gaz sur notre territoire reflète, tout simplement, une vision de la stratégie énergétique fondamentalement différente de la nôtre. Nous ambitionnons de faire de la France la première grande nation à sortir des énergies fossiles ,