cosignée par Erwan Balanant, Mathilde Desjonquères, Olivier Falorni, Perrine Goulet, Hubert Ott & Jimmy Pahun
Mesdames, Messieurs, Dans l’époque aux multiples défis qui est la nôtre, l’enjeu environnemental prend une place de plus en plus grande et ce, à raison.
Les phénomènes naturels nous rappellent sans cesse à notre propre fragilité : nous étions poussière, nous redeviendrons poussière.
Cette réflexion pousse nombreux de nos concitoyens à se soucier, au‑delà de leur mort, des conséquences de leurs choix de vie.
À l’heure actuelle, deux choix sont possibles lors d’un décès : l’inhumation ou la crémation.
Procédés anciens, ces deux options proposées lors de la mort d’une personne sont extrêmement polluantes.
En effet, la crémation dégage près de 3 % des émissions annuelles de CO² d’un citoyen, l’inhumation quatre fois plus.
Elles nécessitent un cercueil, son entretien, ainsi que la préservation du corps avec des produits polluants, comme le formol.
Outre leur procédé, la place prise post‑mortem par les corps enterrés pose question,...
1 commentaire :
Le 11/03/2024 à 12:03, SOTTIZON Bernard a dit :
Bonjour, ce projet de loi a-t-il été redéposé afin d'obtenir le début d'une avancée vers l'expérimentation de l'humusation en France ? Cette façon de finir sa présence sur Terre me conviendrait et je souhaite fortement que ce procédé soit accepté en France.
Cordialement
B. Sottizon
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