Les amendements de Benjamin Lucas-Lundy pour ce dossier
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En cette heure tardive, propice à la méditation, je me permets de convoquer l'un de nos illustres prédécesseurs, Victor Hugo, qui écrivait en 1874 : « Vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée. » Cent cinquante ans après, la misère est toujours là ; pourtant, nous pouvons l'éradiquer. Les amendements n° 561 et 1023 v...
Personne. Mais je pourrais citer mes collègues, qui ont très bien parlé de la situation de la jeunesse il y a quelques instants. Cette jeunesse, à laquelle vous n'offrez comme perspective qu'un service national brutal et très coûteux ,
à laquelle vous refusez encore et toujours le revenu de solidarité active, et que vous laissez dans la précarité. Vous aviez finalement raison, chère collègue, je vais terminer par une citation. On a le droit de s'intéresser au sort de la jeunesse, surtout quand on parle du pouvoir d'achat, parce qu'elle est la première victime des inégalités,...
Une collègue m'a incité à terminer par une citation ; il se trouve que j'ai l'immense honneur – oserais-je dire le privilège – d'occuper un siège qui fut occupé jadis par François Mitterrand.
Oui, je parle fort ; cela vous réveillera peut-être, cher collègue ! François Mitterrand disait – je vais parler doucement : « Si la jeunesse n'a pas toujours raison, la société qui la méconnaît et qui la frappe a toujours tort. » Arrêtez, s'il vous plaît, chers collègues et membres du Gouvernement, de frapper la jeunesse !