Publié le 14 octobre 2022 par : M. Saintoul, Mme Abomangoli, M. Alexandre, M. Amard, Mme Amiot, Mme Amrani, M. Arenas, Mme Autain, M. Bernalicis, M. Bex, M. Bilongo, M. Bompard, M. Boumertit, M. Boyard, M. Caron, M. Carrière, M. Chauche, Mme Chikirou, M. Clouet, M. Coquerel, M. Corbière, M. Coulomme, Mme Couturier, M. Davi, M. Delogu, Mme Dufour, Mme Erodi, Mme Etienne, M. Fernandes, Mme Ferrer, Mme Fiat, M. Gaillard, Mme Garrido, Mme Guetté, M. Guiraud, Mme Hignet, Mme Keke, M. Kerbrat, M. Lachaud, M. Laisney, M. Le Gall, Mme Leboucher.
Dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement, un rapport sur la politique spatiale et notamment les effets de la haute-intensité.
Depuis plusieurs mois, l’ensemble de la Défense se prépare à l'éventualité des conflits de haute-intensité. Pourtant les informations relatives aux conséquences sur les efforts consacrés au spatial à court et moyen terme demeurent floues.
En effet, le projet de loi de finances 2023 ne donne que peu d’indications, sinon un renforcement matériel déjà provisionné dans la Loi de Programmation Militaire précédente couvrant la période 2014 à 2019.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.