Les amendements de Marc Le Fur pour ce dossier

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Cette somme était concevable il y a encore quelques années, voire quelques mois. Or depuis plusieurs mois, les difficultés se multiplient avec ce pays : en Libye, en Grèce, dans le Caucase, à Chypre s'agissant de matières premières. Nous ne pouvons pas faire comme si rien ne s'était passé. Je le demande très clairement, non seulement en tant qu...

Cher collègue, je ne partage pas votre analyse. J'ai le sentiment que nous devons, au contraire, mettre le paquet sur le bilatéral, c'est-à-dire sur ce qui est géré par le ministère, plutôt que sur le multilatéral. En effet, si l'on se fixe comme objectif le Sahel, le bilatéral est la meilleure solution pour s'assurer que les crédits que nous a...

Vous me pardonnerez de ne pas partager, une fois encore, votre analyse. Nous augmentons sensiblement, d'environ 10 %, les crédits destinés aux ONG dans ce projet de budget pour 2021. Il faut prendre en compte les trois grands vecteurs de l'aide. Le premier est la Banque mondiale, pertinente pour les très grands projets, parce qu'elle est profe...

Avis défavorable. La priorité accordée au climat est affirmée, réaffirmée ; elle transparaît dans notre politique de dons et de prêts. Elle a été définie à une époque où la croissance était générale. Or nous vivons un moment très particulier. Comme l'a souligné l'étude de la Banque mondiale, 150 millions de personnes vivent dans l'extrême pauv...

Votre amendement a le mérite de poser le débat, déjà introduit par nombre de collègues. Ma position est diamétralement opposée à la vôtre. C'est le même pays, la France, qui, d'un côté, aide, et, de l'autre, est confronté à ces flux migratoires : ces deux hémisphères ne sont pas distincts ! D'une manière ou d'une autre, l'aide doit prendre en ...

Une fois encore, je ne partage pas du tout votre approche. Le développement ne se résume pas à de grands projets étatiques, tels les grands projets d'assainissement ou autres ! Il implique aussi la société civile et les entreprises locales. Lorsqu'un jeune Africain passe de l'économie informelle à la création d'une vraie PME qui va se développ...

Dans notre logique, le développement doit aussi passer par le monde de l'entreprise, la création d'activités et la transformation du secteur informel. Peut-être l'action de Proparco n'est-elle pas parfaite, mais le fait qu'elle contribue à développer une économie plus efficace, nous paraît une excellente chose.

Nous sommes dans une année particulière, une année où, grâce à vos efforts, l'aide au développement s'accroît comme jamais mais où, dans le même temps, le pouvoir d'achat de nos compatriotes s'effondre. Je veux donc bien leur expliquer que l'aide publique au développement va augmenter, mais à la condition qu'ils y trouvent aussi leur compte ! ...

L'ordre du jour appelle la suite de la discussion de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2021 (nos 3360, 3399).

Nous abordons l'examen des crédits relatifs à l'administration générale et territoriale de l'État (no 3399, tome III, annexe 3 ; no 3404, tome I), aux sécurités (no 3399, tome III, annexes 39 et 40 ; no 3465, tome VIII ; no 3404, tomes VII et VIII) et au compte d'affectation spécial « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » (n...

La parole est à M. Antoine Savignat, rapporteur pour avis de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.

La parole est à M. Stéphane Mazars, rapporteur pour avis de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.

La parole est à M. Arnaud Viala, rapporteur pour avis de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.

L'ordre du jour appelle la suite de la discussion de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2021 (nos 3360, 3399).

Cet après-midi, l'Assemblée a commencé l'examen des crédits relatifs au plan de relance (no 3399, annexe 46 ; no 3400, tome XV) et au plan d'urgence face à la crise sanitaire (no 3399, annexe 46), s'arrêtant à l'amendement no 959.

La parole est à M. Laurent Saint-Martin, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire, pour donner l'avis de la commission.

La parole est à M. le ministre de l'économie, des finances et de la relance, pour donner l'avis du Gouvernement.