Les amendements de Jean-Pierre Door pour ce dossier

53 interventions trouvées.

Les Français en ont assez de la communication bavarde, assez des différentes affirmations sur le nombre de Français vaccinés.

Monsieur le Premier ministre, la campagne de vaccination entre dans sa deuxième semaine. Nombreux sont ceux qui ont déjà répondu présent : c'est une très bonne chose. Vous avez donc raison de passer la surmultipliée et de changer de braquet. Assez de cette campagne à la vitesse d'une deux-chevaux, des ordres et des contre-ordres qui se multipl...

Les centres de vaccination sont ouverts, les élus locaux et les professionnels de santé sur le pied de guerre. Tout le monde est prêt. Localement, nous sommes tous mobilisés. Dans ma ville, plus de 1 000 personnes ont été vaccinées en quatre jours. Seulement, les moyens financiers font défaut, et les doses ne suivent pas. Monsieur le Premier mi...

Monsieur le Premier ministre, le coronavirus continue de progresser dans le monde et la France n'est pas à l'abri d'une reprise épidémique. Les manifestations récentes à Paris, à Nice et lors d'une rave-party dans la Nièvre, à côté de ma circonscription, réunissant 5 000 personnes, sans précautions, relèvent de la provocation et, je le dis, de ...

Nos voisins ont déjà adopté une telle mesure. D'inutile en mars, le masque devient utile aujourd'hui si l'on en croit les déclarations du Président de la République. Le groupe Les Républicains vous demande, monsieur le Premier ministre, de ne plus tarder et de ne plus tergiverser sur le port obligatoire du masque dans les lieux clos. Il y a ur...

Dans le même temps, nous vous demandons d'accélérer le dépistage, car nous sommes loin des 700 000 tests par semaine promis.

Monsieur le premier ministre, les Français veulent savoir ce qui attend la sécurité sociale, ce bien qui leur appartient et dont le déficit se creuse aujourd'hui à un niveau abyssal, du jamais-vu ! Après avoir évoqué au Sénat un déficit de 41 milliards d'euros, on en arrive à 92 milliards en y ajoutant le coût des propositions pour l'hôpital ai...

… qu'en est-il de la compensation de la dette sociale, supérieure à 130 milliards ? Comment le Gouvernement va-t-il faire ? Quelles sont les solutions envisagées au niveau de la CADES dans le cadre de la loi organique de 2010 ? Est-il question d'une annulation ?

Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, depuis l'épidémie du SRAS – syndrome respiratoire aigu sévère – en 2003, puis celle du virus H5N1, le monde s'est préparé à la possibilité d'une pandémie grippale. Cette préparation s'est intensifiée avec la crise liée au virus humain H1N1, qui est apparu au Mexique en 2009 et s'est répandu à...

Ma question s'adresse au ministre des solidarités et de la santé, désigné au pied levé après les événements que l'on sait. Veuillez accepter, monsieur le ministre, toutes nos félicitations. Notre système de protection sociale et de santé est assailli par des crises persistantes. Crise du financement des retraites, dont vous n'indiquez pas le ...

Pourquoi faire une nouvelle enquête ? Crise des urgences aussi, les quelques mesures concédées l'an dernier n'ayant pas apaisé la colère des soignants. Crise de la médecine de ville, incapable d'absorber ce que l'hôpital ne devrait pas faire, d'autant que les spécialités qui attirent le moins les futurs médecins sont aussi celles dont on a le...

Monsieur le ministre, cela fait effectivement au moins sept ans que nous siégeons ensemble sur ces bancs, mais pas dans le même camp, même si nous avons travaillé ensemble. Le plan contre la pandémie grippale de 2011, je le rappelle, fut mis en oeuvre à la suite des travaux de la commission d'enquête que j'avais présidée. Enfin, nous vous att...

Monsieur le Premier ministre, vous n'avez pas répondu à la question de M. Woerth : en quelle année les cheminots devront-ils travailler jusqu'à 62 ans ? Parler de réforme des retraites, c'est inquiéter 30 millions d'actifs sans pour autant rassurer 17 millions de retraités. La droite a toujours été au rendez-vous sur la réforme des retraites....

Ce sont des centaines de milliers de professionnels qui se révoltent. Leurs régimes de retraite sont bien gérés ; ils sont dotés de réserves conséquentes, ils sont excédentaires et n'ont jamais reçu l'aide de l'État – qu'ils n'ont jamais demandée – mais participent aux efforts de solidarité. Ils appliquent également des taux de cotisations infé...

Monsieur le haut-commissaire aux retraites, vous avez mis le monde des professionnels libéraux en colère : ils dénoncent un projet de captation de leurs régimes autonomes de retraite inédit dans l'histoire sociale de notre pays. Ils vous l'ont fait savoir, et vos réponses ne les satisfont pas. Ils n'acceptent pas l'universalité des régimes. Ils...

Monsieur le haut-commissaire, ces professionnels sont des avocats, des médecins, des dentistes, des pharmaciens, des infirmières, des notaires. Ils sont effectivement dotés de réserves, et celles-ci sont conséquentes : on les a évaluées autour de 28 milliards d'euros, ce qui n'est pas rien. Ils n'ont besoin d'aucune aide de l'État. Ils ont une ...

Ils ne veulent pas non plus qu'on réduise leurs pensions. Ils partent beaucoup plus tard que d'autres à la retraite : après 65 ans. Tous ces professionnels refusent qu'on fasse la main basse sur leurs réserves. N'éradiquez pas un système qui fonctionne. Monsieur le haut-commissaire, donnez-leur des précisions de façon à ce qu'ils puissent ente...

Madame la ministre des solidarités et de la santé, les Français, en particulier les futurs retraités, ne comprennent plus rien à votre réforme des retraites.

Jean-Paul Delevoye, nommé Haut-commissaire à la réforme des retraites sous votre tutelle, répète depuis des mois qu'il ne veut pas modifier l'âge de départ en retraite. C'était d'ailleurs une promesse de campagne du Président de la République, et il m'a semblé que le Premier ministre partageait ce point de vue. Mais vous, madame la ministre ch...

Les Français sont complètement perdus dans ces déclarations contradictoires, et le Gouvernement semble naviguer à vue sur cette question essentielle – comme vient de le confirmer l'intervention du Premier ministre. Le Gouvernement n'a par ailleurs de cesse de rogner le pouvoir d'achat des retraités, avec la hausse brutale de la CSG et la désin...