Je serai bref car il s'agit en grande partie d'arguments que j'ai déjà développés. Je voudrais cependant citer notre collègue Philippe Huppé, qui, lors des premiers échanges, avait beaucoup travaillé sur les questions auxquelles est consacré cet article, et avait notamment proposé un amendement. Il faut donc lui rendre hommage, ainsi qu'à tout le groupe d'études vigne, vin et oenologie.